Du stress qui nous met mal
Le stress est inévitable et fait partie de la vie. Il est un mécanisme de survie pour l’homme si ce dernier peut agir.
Mais dans bien des situations sociales, on est obligé de respecter des conventions qui nous empêchent d’agir.
Par exemple, si mon patron est un sale type qui me brime et me stresse en permanence, l’action logique serait de me mettre en colère, de le gifler ou de lui dire ses quatre vérités. Mais, l’impératif social est que le patron est mon supérieur hiérarchique que je dois respecter !
Les conséquences seront que j’ai mal au dos ("j’en ai plein le dos"), je digère mal, je dors mal…
Pour des raisons de convenance, de culture, nous ne pouvons pas « fuir ou lutter ». Nous perturbons alors notre équilibre biologique car nous nous retrouvons dans un état « d’inhibition d’action » engendrant des problèmes futurs de santé.
La Naturopathie peut vous accompagner, je propose également des séances d’exercices « anti-stress ».
Déclin cognitif :
une protection dans votre thé du matin ?
Boire du thé désaltère... et protège votre cerveau ! C’est la conclusion d’une vaste étude menée par des universitaires d’Essex, de Cambridge, Singapour et de Chine publiée dans le journal Aging. Elle montre un risque de démence divisé par deux, un risque de déclin cognitif réduit de 86 %, une meilleure inter-connexion des zones cérébrales et donc une meilleure circulation de l’information chez les consommateurs de thé.
Plus que protéger le cerveau, la consommation de thé (le thé vert notamment) au moins quatre fois par semaine boosterait vos capacités cognitives.
Forcé ou réel, le sourire rend heureux !
Le cerveau ne fait pas la différence entre le sourire forcé ou réel ! Plus étonnant encore : nos actions pourraient influencer nos émotions (et non l’inverse).
C’est en tous les cas les conclusions d’une nouvelle étude parue dans Experimental Psychology. Des chercheurs ont ainsi analysé deux groupes : le premier maintenait un sourire forcé à l’aide d’un stylo entre les dents, le second ne souriait pas. Face à des images censées susciter des émotions de leur part, les premiers les ont interprétées de façon plus positive que les seconds. La raison est physiologique : les muscles faciaux stimulent l’amygdale, centre émotionnel du cerveau, qui libère alors des hormones du bien-être.
Et le Dr Marmolejo-Ramos, responsable de l’étude, de conclure : « Lorsque vos muscles vous disent que vous êtes heureux, vous avez plus de chances de voir le monde qui vous entoure de manière positive ». Conclusion : souriez, quoi qu’il arrive
L’épigénétique
On a longtemps pensé que notre ADN était inchangeable, or l’épigénétique nous apprend que l’environnement, nos habitudes de vie, nos pensées positives ou négatives peuvent influencer l’activation ou la désactivation de nos gènes.
Cependant, si les modifications épigénétiques peuvent être bénéfiques, elles peuvent aussi en être la cause ou le résultat de pathologies.
Des recherches réalisées par le CNRS en 2006 mettent en évidence que certaines maladies comme Alzheimer, allergies ou obésité tiennent leur origine, en partie, de ces dysfonctionnements épigénétiques.
Nous aurions donc le pouvoir de modeler notre santé.